Depuis de nombreuses années, la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique est de plus en plus incompatible avec la protection de la planète à long terme. Il est donc nécessaire d’avoir une vision mondiale et de principes communs, d’avoir une approche holistique entre le développement économique et social et la protection de l’environnement et de prendre en compte l’interdépendance entre les êtres humains et l’environnement naturel
Plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l’urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. On ne peut pas continuer comme avant.
Une profonde rupture fondatrice s’impose dans la conception des gouvernements sur les relations entre l’environnement, les politiques publiques, les individus et les entreprises. Une transition est donc nécessaire pour permettre de répondre aux besoins du présent sans compromettre la possibilité pour les générations futures de satisfaire les leurs », ce que recouvre le terme de développement durable adopté dans le monde entier.
L’objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui concilient trois aspects des activités humaines. Les trois piliers à prendre en compte sont l’environnemental, le social et l’économique par les collectivités comme par les entreprises et les individus. La finalité du développement durable est de trouver un équilibre cohérent et viable à long terme selon ces trois aspects.
Depuis de nombreuses années, la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique est de plus en plus incompatible avec la protection de la planète à long terme. Il est donc nécessaire d’avoir une vision mondiale et de principes communs, d’avoir une approche holistique entre le développement économique et social et la protection de l’environnement et de prendre en compte l’interdépendance entre les êtres humains et l’environnement naturel
Plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l’urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. On ne peut pas continuer comme avant.
Une profonde rupture fondatrice s’impose dans la conception des gouvernements sur les relations entre l’environnement, les politiques publiques, les individus et les entreprises. Une transition est donc nécessaire pour permettre de répondre aux besoins du présent sans compromettre la possibilité pour les générations futures de satisfaire les leurs », ce que recouvre le terme de développement durable adopté dans le monde entier.
L’objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui concilient trois aspects des activités humaines. Les trois piliers à prendre en compte sont l’environnemental, le social et l’économique par les collectivités comme par les entreprises et les individus. La finalité du développement durable est de trouver un équilibre cohérent et viable à long terme selon ces trois aspects.
Le développement durable n’est pas un état fixe de l’harmonie, mais plutôt un processus d’évolution durant lequel l’exploitation des ressources, l’orientation des investissements, l’avancement du développement technologique et les transformations institutionnelles sont conformes à nos besoins aussi bien futurs que présents ».
Il faut donc :
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie comme la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société. En d’autres termes, la RSE désigne la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable.
Cette transition va impacter chaque individu, chaque élus chaque dirigeant et chaque collaborateur.
La formation de chacun est donc un sujet capital pour permettre l’acquisition de compétences nouvelles dans l’ensemble des métiers existants, et accompagner les transformations des volumes d’emploi pour les secteurs concernés.